Le nucléaire est mal barré
Le CEA n'est plus "Commissariat à l'Energie Nucléaire" mais "Commissariat aux Energies Alternatives".
La revue Défis du CEA ne parle pratiquement plus de nucléaire: ils veulent récupérer les fonds attribués à d'autres.
L'industrie et la recherche sont malades du gigantisme: les centrales énormes comme celles qui sont en panne et les accélérateurs géants comme le CERN où on prétend avoir trouvé la pierre philosophale, le boson de Higgs, choisi dans un million de particules pour que Higgs ait le Nobel. En fait on ne sait pratiquement aucune de ses propriétés, à part son énergie confondue avec sa masse. Cela n'a pas empêché de distribuer de nombreux prix Nobel pour des théories non prouvées, c'est le Nobel qui risque d'en prendre un coup.
La physique nucléaire et des particules, est en plein délire.
Comme on ne sait pas calculer l'énergie nucléaire à partir de lois fondamentales, on a imaginé la "force forte" dite, maintenant, pour en cacher le ridicule, "Interaction forte" ou d'autres dénominations comme QCD. Comme on n'y comprend rien on invente constamment des mots qu'on "explique" par d'autres mots et ainsi de suite.
En fait, j'ai trouvé, tout simplement, que l'énergie nucléaire n'est pas due à une mystérieuse "force forte" mais à l'équilibre statique entre l'attraction électrique du noyau atomique équilibrée par la répulsion magnétique des nucléons qui constituent le noyau atomique.
Ci-dessous mon article sur ce sujet, dans une revue d'électromagnétisme, en anglais (il n'y a plus de revue scientifique en français). Il a été refusé par toutes les revues scientifiques nucléaires, y compris la revus "Physique" de l'Académie des Sciences où pourtant, j'ai publié une demi-douuzaine de "Notes", certes sur des sujets différents. Un argument contre est que ma théorie contredit plusieurs prix Nobel.